fata biographie Beaucoup de jeunes sénégalais ont trouvé dans le Hip Hop, une opportunité pour montrer tout leur talent et gagner ainsi leur vie. C'est la voie qu'à choisi également FATA. Celui que l'on nomme également "El Presidente, est originaire de Saint-Louis du Sénégal.
Tout débute en 1995, quand il crée avec son compère Gougou, le groupe CBV (Coups et Blessures et Volontaires) faisant référence à un article du Code pénal sénégalais. Après plusieurs apparitions sur différentes compilations et autres projets, les 2 compères sortent en 2001 leur premier opus "Or Klass", qui est un double-album à succès autant salué par la presse que par le public. En 2002, les deux hommes se séparent, leurs carrières prenant des orientations différentes. FATA continue donc son bonhomme de chemin musical, en enchaînant les featurings sur les albums des grandes stars nationales de la musique rap et mbalax. En 2004, il autoproduit la compilation rap "Free Concept", projet qui réunit des nouveaux talents confirmés et des poids lourds du genre. 2005, voit sa naissance en tant qu'artiste de renommée à part entière. Une nouvelle aventure commence : Il crée son son label de production et d'organisations événementielles TAFLABEL. Puis va aux Etats-unis, à la rencontre du célèbre clan Ruff Ryders de Dmx, où il enregistre et mixe dans leur studio, ses propres morceaux dont des tracks avec Drag-On, Aja, et Pirate de ce crew new-yorkais. Il invite même en décembre, Drag-On à Dakar pour son méga concert de lancement de ce qui va être un album anthologique du Hip Hop sénégalais : "R'AFRIK" (Taflabel/Origines Sa) qui invite notamment les Américains et autres déracinés de rejoindre la Terre mère : l'Afrique !
On notera que depuis le début de sa carrière, qu'il aura déjà collaboré avec : Tonyblackman, Abdou Guité Seck, Pacotille, Omar Pène & Super Diamono, Fou Malade, Abou Thioubalo, Viviane, Carlou D, Daara J, Secka, Ruff Ryders, Youssou Ndour, Gokh Bi System, Baboulaye Cissokho, ... En plus d'être artiste, et patron de label, cet artiste multi-casquette, est aussi animateur télé et radio. Un vrai passionné de musique ! GOUGOU BIOGRAPHIE
Diakité Mamadou allias gougou Né le 14-121975 à dakar. en 1995 .Il ecope d'un mois de prison pour coups et blessures volontaires d'ou le nom de son groupe cbv creé en 1997.Pour mieux evoluer dans le rap il prone d'aller en france pour faire des etudes en ingenierie de son . apres presque 3 ans d'absence il est de retour au senegal pour la propmotion de son album solo.il fait l'actualité de tous les medias du senegal.il a eu à etre invité à 2stv la deuxieme chaine nationale à rfm,il sera invité aujourd8 a walf à 16 et à dakar fm à 17h.il tiendra sa conference de presse de main au just 4 u. il a aussi eu à accorderer une interview au label 102 prod'actions. Dans le cadre de la promo de son album aussi il a organisé deux concerts l'un à grand yoff dans son quartier et l'autre aura lieu aujourd8 au centre social des parcelles assainies. il se reclame desormais the king of senegalese hiphop
Commentaire de coiffeuse pour rapeurs et hip hopeurs (15/07/2008 21:07) :
J'adore le rap et participe du point de vue esthétique à la street
culture. Je te donne le côté fashion, sur demande je te fais des tresses,
rastas et autres coiffures d'inspiration africaine.
J'adore aussi la musique tribale comme le ragga.
SI TU FAIS PARTIE D'UN GROUPE DE RAP LA COIFFURE T'EST OFFERTE.
Appelle le 078/776.54.49 ou le +41.78.776.54.49
http://combatspirituel.skyrock.com
je vais vous présenter Chronik 2H et raconter comment s'est déroulée cette rencontre entre RoZo et K-Id ? Chronik 2H est un groupe qui existe depuis '97. A la base on était trois cités Iso, RoZo et Bess. Après le départ de Iso, on s'est retrouvé à deux et K-Id qui était dans son groupe I-P, nous a rejoint parce que les membres de son groupe s'apprêtaient à s'expatrier aux états-unis et autres... Ainsi on était trois jusqu'en '99 puis en 2000 on s'est retrouvé à deux puisque Bess devait partir aussi aux Etats-Unis. Donc on a continué à deux et jusqu'à présent on aura sorti deux albums. En 2004, on a sorti l'album intitulé "trop de choses à dire" et en 2005 on a voulu confirmer tout le bien que pas mal de gens disaient sur Chronik 2 H et sur le premier album ; on a essayé de le faire sous forme de "Hors-Série". Alors moi c'est RoZo et je suis "lyricist" et fondateur de Chronik 2 H. K-Id est "lyricist" aussi et compositeur. En dehors de Chronik 2 H, K-Id a aussi travaillé sur des projets de Nix dans l'album "Black Crystal" comme les titres "Fuck It Up" et "Tout C'ke J'ai". Il a aussi bossé sur le dernier projet de Big-D intitulé "Diam - La Paix" et le dernier album de Yatou "Next Level". K-Id a également bossé sur le dernier album de Duggy tee "Guem" ou il a signé certains titres.
Vous êtes sur la scène musicale depuis quelque temps, parlez nous de l'évolution de Chronik 2 H depuis les tous premiers pas dans le milieu du Hip Hop. On commencé avec le morceau qui s'appelle "Parti de Rien" et c'était en '99 et ça n'a pas était facile parce qu'on avait commencé dans les soirées "underground" de DJ Mataar qu'il organisait à l'Aldo club. Et donc on essayait de s'insérer dans le milieu de la musique, ce qui n'était vraiment pas facile parce que à l'époque le rap français était très mal perçu ici au Sénégal. On essayait donc de s'impliquer dans des compil' ou à des concerts mais les gens ne considéraient pas trop notre type de musique car comme je disais, le rap français n'était pas bien perçu. Mais au fil des années on a réussi à profiler ce style avec des textes assez profonds. Par moment et avec l'évolution, on arrivait à mettre un peu d'eau dans votre vin avec des morceaux beaucoup plus commerciaux pour le grand public. Au fur et à mesure, avec les compositions de K-Id, le groupe s'est donc fait une petite place. Au niveau underground, on a aussi essayé de faire des combinaisons avec d'autres artistes et ainsi on a réussi à évoluer jusqu'en 2002 où on a décidé de sortir un album. Alors on s'est mit à écrire puis on a commencé à rentrer en studio la même année. D'un autre côté, chercher un producteur au niveau du Sénégal n'a pas du tout était facile non plus vu qu'il y avait toujours ce même handicap du rap français : on s'est souvent remis en question pour redoubler d'effort afin de sortir notre album.
Mis à part ce "handicap" du rap quelles autres difficultés avez-vous rencontré durant vos débuts ? Alors déjà la première difficulté c'était de se faire entendre et de saisir l'attention du public vu que le rap en wolof est plus côté ici au Sénégal. Ensuite, il y a eu les difficultés financières bien sur pour les frais de studio, ce qui est un problème que rencontre la majorité des "HipHopeurs" ici, donc on s'est battu et avec de nombreux soutiens externes, on a réussi et on s'est auto produit. Enfin, après la sortie de notre premier, on a eu un problème de boycott au niveau des radios mais heureusement certains gens nous ont fait confiance et ont osé mettre nos morceaux dans leurs émissions de HipHop. Et donc voila les principaux obstacles que l'on a rencontré.
Vous nous avez apporté l'album "Hors-Série", parlez nous de cet album. Son concept, sa mise en œuvre et combien de temps ça vous a pris ? Quand on a sorti le premier album en 2004, le problème principal était l'organisation vu qu'en évoluant en auto production on a pas une grosse structure derrière nous. Donc on a fait les choses par nous même et, avec le collectif LZ3 derrière nous, on essayait de tout faire. A un moment, on s'est arrêté en se disant "mais là il y a un problème...", et le problème s'était qu'il devait y avoir une organisation derrière tout ça. Ainsi on a décidé de prendre un manager, et on a signé avec quelqu'un qui travaille à One Prod qui s'appelle Gabin Bao. Une fois que l'on a commencé à travailler avec lui, tout est devenu beaucoup plus professionnel. On se disait aussi qu'il fallait que l'on apporte un nouveau produit entre ses mains pour confirmer le premier album qui avait eu un certain succès mais assez limité. Il s'agissait surtout de ceux qui connaissaient déjà le parcours du groupe, qui nous avaient suivi depuis le début et qui avaient bien apprécié nos premiers produits. Albums La question était de savoir comment on all it faire pour organisertout ça. Alors ce que l'on s'est dit c'était de faire beaucoup de nouveaux morceaux et beaucoup plus riches en sonorité, c'est pour ça que l'on a essayé d'apporter des touches africaines dans certains morceaux comme "We Don't Need That" où on fait jouer la kora et dans "Pretty Woman" où on fait jouer les djembés. Aussi notre manager nous a énormément encouragé à aborder des thèmes précieux et fédérateurs au niveau national et international. On a donc choisi de parler des thèmes sur l'unité africaine ou alors la féminité comme dans "Pretty Woman" où on a plutôt présenté ce coté matérialiste qui est l'une des spécificités de nos femmes ici au Sénégal et sûrement un peu partout. On a eu la chance par l'intermédiaire de notre manager de faire un duo avec Jacky des Neg' Marrons pour avoir une porté au niveau international. Et bon c'est vraiment ce dernier élément qui fait la spécialité de ce "Hors-Série" afin d'ouvrir la musique de Chronik 2H sur l'international.
Votre morceau "Toi ici, Moi Là bas" a touché de nombreuses personnes qui se sont sentis concernées, pourriez vous nous en dire un peu plus sur ce titre ? Alors ce morceau c'est du vécu ! A un moment donné, quand on venait de terminer l'enregistrement de 8 titres du premier album, K-Id devait aller en France pour y continuer ses études et beaucoup de gens se demandaient si on allait sortir cet album et moi en premier. Je suis resté ici, je me suis posé beaucoup de questions pendant ces moments de doute et un soir je commençais à projeter et je me suis dit "Tiens ça c'est une situation qui m'interpelle car je suis ici alors que j'aimerais bien rejoindre K-Id là bas en occident pour pouvoir, entre guillemet, avoir la vie de rêve quoi". C'est ce que je me disais au départ mais après quand il m'appelait, il me disait "Écoute mec, ici ce n'est pas facile contrairement à ce que tu crois, j'ai vraiment envie de rentrer et franchement ici c'est la merde surtout en tant qu'étranger. Je ne suis pas français mais plutôt sénégalais et beaucoup de choses m'incitent à rentrer chez moi". Et c'est de là je lui ai proposé d'écrire sur ce thème "Toi ici, Moi Là bas" et c'est parti ainsi, d'ailleurs c'est une situation que pas mal de gens vivent. Vous nous parliez plutôt des nombreuses compilations auxquelles vous avez participé. Comment se sont déroulées ces collaborations ? Comment avez-vous fait le choix des "featurings" ? Dans le premier album "Trop de chose à dire" déjà ça c'est passé au feeling : il y a eu un featuring avec Styles qui fait parti du LZ3, un gars qu'on connaît depuis bien longtemps et qui a énormément de talent. Il y a eu aussi Sista Diarra, une française qui vit à Paris et qui évolue dans une chorale de Gospel avec son groupe et qu'on a connu à travers le festival Unissons qui s'est passé ici à Dakar. Dès qu'on s'est rencontré il y a eu la connexion, on est rentré en studio et on s'est dit pourquoi ne pas faire un morceau avec Sista Diarra donc on a fait le titre "Sans Frontière Ni Couleurs" où on parle de l'amitié. Il y a eu aussi un featuring avec Duggy Tee du Positive Black Soul. L'histoire c'est que K-Id fait souvent la navette entre Montpellier et Dakar et il est monté sur Paris où il a rencontré quelqu'un qui bossait avec Duggy Tee ; quand il est revenu sur Dakar, il m'a dit "faut qu'on essaie de rencontrer Duggy Tee...". Je lui disais "Duggy Tee on ne l'entend plus, on ne sait même pas s'il est toujours dans le mouvement..." Alors on a décidé de se rendre du coté de Liberté 6 afin de le rencontrer et de lui parler de notre projet, celà s'est fait tranquillement et sans problème et ainsi on a fait un titre avec lui. Jacky des Neg' Marrons était venu sur dakar en Juin pour le festival Afrika Keur et comme il était déjà venu pour un concert de Neg' Marron en décembre 2004, il avait eu à rencontrer notre manager Gabin Bao à travers les relations et quand il est revenu pour ce festival, ils se sont revus et Gabin lui a dit "je m'occupe d'un groupe qui prépare un album, ce sont de jeunes promoteurs qui éventuellement pourraient évoluer au niveau international..." et c'est ainsi qu'il a réussit à interpeller Jacky sur ce projet. Moi personnellement j'ai rencontré Jacky en studio alors qu'on lui faisait écouter le beat pour le titre "Le Signal". Il devait rentrer le surlendemain sur Paris donc on a fait le morceau en 2 jours. Donc en gros voilà comment les featurings se sont passés.
Lorsque vous avez débuté votre carrière musicale, vous avez choisi de vous appelez Chronik2H. Expliquez la signification, l'origine et le "pourquoi" de ce nom ? Nous ce que l'on voulait au départ avec Iso et Bess, c'était avoir une identité propre. C'est-à-dire à travers le HipHop, donner notre vision du monde dans lequel nous vivions et celà que ce soit ici au Sénégal ou au niveau international. On voulait donner une vision du HipHop à travers de jeunes africains. Donc on est une chronique du HipHop d'où les 2 H qui veulent dire Hip Hop et Chronik pour la description des évènements selon l'ordre chronologique des faits. Donc c'est comme ça qu'on a combiné les deux et ainsi on a décidé de s'appeler Chronik 2H.
En oubliant les dures réalités du quotidien, quel serait votre plus beau rêve musical ? Déjà ce serait d'avoir un plus de reconnaissance dans notre pays le Sénégal parce que c'est ici que nous évoluons. Ensuite au niveau international, avoir des opportunités que ce soit en Europe, aux Etats-Unis ou Canada, mais surtout dans la partie francophone car comme on connaît la philosophie du marché américain, "s'ils ne comprennent pas ils ne prennent pas !" (rires)
En ce qui concerne vos projets, vous comptez continuer ensemble on espère ? Oui bien sur, il n'y a aucun souci pour ça. On a fait une longue route avant de sortir ces deux albums et si tout se passe bien on a même l'intention de s'investir ensemble pour créer notre propre label panafricain qui va donner la chance a ceux qui n'ont pas eu les même opportunités que nous avons eu. On a eu la chance d'avoir beaucoup de soutien comme celui de nos parents et tout donc on n'était pas totalement démunis. On a nos connaissances et nos études donc cette chance nous a beaucoup aidé. Je trouve qu'il y a énormément de talents au niveau africain et j'espère que l'on pourra donner la chance aux jeunes comme nous pour pouvoir évoluer. Ensuite, étendre nos activités pas seulement dans la musique mais par exemple dans le Street Wear car c'est un projet que l'on veut mettre en place depuis un moment et on a pas encore eu l'opportunité de développer cette branche pour le moment. Et bon comme on dit "Sky's the limit" donc on ne sait pas mais on verra bien jusqu'où on ira. Que pensez vous du mouvement HipHop local ? Quel est son avenir ? Je vais parler honnêtement en ce qui concerne le Sénégal parce que c'est ce que je connais le mieux. Alors au Sénégal il y a beaucoup de talents mais malheureusement il n'y a pas assez de structures, il y a des problèmes au niveau de la communication, du financement et ceux qui ont compris que la musique allait avec le business ne sont pas nombreux ici. D'ailleurs je ne peux citer que deux groupes qui sortent la tête de l'eau et c'est PBS radikal à travers Awadi ou alors Daara J. Donc il y a des problèmes de structure, de financement, d'organisation et de communication. Et je pense que tant que ces éléments ne seront pas inclus au sein du HipHop sénégalais, il y aura une marge d'évolution très faible. Malgré le nombre important de talents qui existe ici, les choses vont évoluer très lentement si nous n'arrivons pas à incorporer ces éléments dans la musique. L'avenir du HipHop africain et sénégalais dépend énormément de ça.
Votre dernier album "Hors-Série" a été nominé au HipHop Awards ce Décembre 2005. Quelles sont vos impressions à ce sujet ? Ca fait énormément plaisir et c'est un très bon début de reconnaissance. Si on est nominé aux HipHop Awards qui représentent un élément fort du HipHop sénégalais et de la vie culturelle au Sénégal, celà veut dire que l'on ne passe pas inaperçu. On verra bien le 4 Décembre car ça se passe à travers un jury d'animateurs radio et de DJ's.
Racontez nous les meilleurs souvenirs de Chronik 2H. Les meilleurs souvenirs remontent au début de l'aventure quand on était insouciant et qu'on avait la haine. Aussi, l'enregistrement du premier album s'est déroulé dans une ambiance incroyable. On ne réalisait même pas que l'on était entrain d'enregistrer l'album mais à un moment on s'est ressaisi et on a décider d'y mettre beaucoup de sérieux. Sinon voilà en gros c'est ça, dans mon souvenir, le départ c'était vraiment bien.
Parles nous de Chronik 2H en dehors de la scène ? Moi Rozo j'ai 27 ans et j'ai fini mes études avec Bac + 4 en Gestion Compta mais je me donne à fond dans mon HipHop. Je vis ici à Dakar, toute ma famille est en France seulement ma grand-mère est ici avec moi. K-Id a fait des études en audio-visuelle du côté de Montpellier et depuis qu'il a fini il est ici avec sa famille à Dakar. C'est le benjamin de sa famille, il a 22 ans et il est à fond dans le HipHop aussi. Il construit aussi beaucoup de sites internet pour de nombreux artistes ici comme celui de Duggy Tee et bien d'autres.
Un Mot : Vive le HipHop sénégalais et le HipHop africain ! Pour les sénégalais qui liront cette interview, je leur demanderai de ne pas pirater et plutôt d'acheter les albums car c'est un minimum pour l'artiste et le mouvement. Si tu kiffes le morceau, va acheter l'album car 1000 franc c'est rien. Un CD a 5000 franc, car tout le monde met facilement cette somme pour aller au Dolce ou à La Tanière. Ca coûte rien de le faire et c'est pour supporter le mouvement. Je sais qu'il y en a qui le font mais il reste énormément à faire à ce niveau. Donc supporter le mouvement à votre manière en allant aux concerts tout en restant discipliné. Sinon One Love - Big Up à tout le public du HipHop car le combat continue.
Né en 1997 à Dakar, Le groupe a su dès le début s`entourer des meilleurs auteurs, compositeurs sénégalais. Dans style Hip Hop métissé de reggae, ragga, et de musique traditionnelle et moderne sénégalaise Da brains sort en 1998 son premier Album avec la participation de Doudou Ndiaye Rose (tambour majeur, Sénégal) et Positive Black Soul (premier groupe de Hip Hop africain, Sénégal). En 2000, Thione Ballago Seck (leader mbalax, Saénégal), la chorale des martyres de l`Ouganda (Sénégal) et Ibou Ndour (compositeur, Sénégal) participent à leur deuxieme Album. En 2003, Fallou Dieng (leader mbalax, Sénégal), Oxmo Puccino (rappeur, France), Disiz la Peste et Flag (rappeurs, France) et Keïsha (R`n B, France) et Bost & Bim Rythmes (compositeur, France) et Komplex (compositeur, France) participent au troisième album. Actuellement Responsable de production artistique pour la sortie d`une Compilation internationale « Unisida » (avec les Nubians, Saïan Supa Crew, Ismaël Lo) soutenu par Amnesty International, l`UNESCO, le ministère de la culture et de la communication français...Da Brains se prépare à conquérir la scène international
Beaucoup de jeunes sénégalais ont trouvé dans le Hip Hop, une opportunité pour montrer tout leur talent et gagner ainsi leur vie. C’est la voie qu'à choisi également FATA. Celui que l'on nomme également "El Presidente, est originaire de Saint-Louis du Sénégal.
Tout débute en 1995, quand il crée avec son compère Gougou, le groupe CBV (Coups et Blessures et Volontaires) faisant référence à un article du Code pénal sénégalais. Après plusieurs apparitions sur différentes compilations et autres projets, les 2 compères sortent en 2001 leur premier opus "Or Klass", qui est un double-album à succès autant salué par la presse que par le public. En 2002, les deux hommes se séparent, leurs carrières prenant des orientations différentes. FATA continue donc son bonhomme de chemin musical, en enchaînant les featurings sur les albums des grandes stars nationales de la musique rap et mbalax. En 2004, il autoproduit la compilation rap "Free Concept", projet qui réunit des nouveaux talents confirmés et des poids lourds du genre. 2005, voit sa naissance en tant qu'artiste de renommée à part entière. Une nouvelle aventure commence : Il crée son son label de production et d'organisations événementielles TAFLABEL. Puis va aux Etats-unis, à la rencontre du célèbre clan Ruff Ryders de Dmx, où il enregistre et mixe dans leur studio, ses propres morceaux dont des tracks avec Drag-On, Aja, et Pirate de ce crew new-yorkais. Il invite même en décembre, Drag-On à Dakar pour son méga concert de lancement de ce qui va être un album anthologique du Hip Hop sénégalais : "R'AFRIK" (Taflabel/Origines Sa) qui invite notamment les Américains et autres déracinés de rejoindre la Terre mère : l'Afrique !
On notera que depuis le début de sa carrière, qu'il aura déjà collaboré avec : Tonyblackman, Abdou Guité Seck, Pacotille, Omar Pène & Super Diamono, Fou Malade, Abou Thioubalo, Viviane, Carlou D, Daara J, Secka, Ruff Ryders, Youssou Ndour, Gokh Bi System, Baboulaye Cissokho, ... En plus d'être artiste, et patron de label, cet artiste multi-casquette, est aussi animateur télé et radio. Un vrai passionné de musique ! .
Commentaire de chacha (21/04/2008 19:37) :
wouuuuuuuuuuuuuuu!!! fata mo niawwwwwww!! loooooooool du zamé viiiii!!!
arete de te la pété man!!bayil niangue niangueuloubi t deja moche!! :)
Mame Thiafour Ndiaye, un jeune qui nourrit sa passion !
Né en Décembre 1972, Mame Thiafour Ndiaye alias Thieuf est passionné de la musique rap. Ayant fait ses débuts dans le Kangu Kaggu en 1993, le jeune rappeur ne s’est jamais découragé quant au succès un jour de son talent. Ayant arrêt » très tôt ses études pour apprendre un métier, il ne pensait qu’à aider sa mère, n’ayant pas beaucoup de moyens financiers. C’est ainsi qu’il fut plombier 4ans, avant de se lancer dans la bijouterie qu’il pratiquera huit ans de suite. Ce qui ne lui a pas empêché de nourrir sa passion la musique rap. En 1996, Thieuf la rencontre de Gaston alias « Baye Sène », et là, les portes commencent à s’ouvrir lentement. En prouvant son savoir faire à son nouveau copain, il devient par la suite son compagnon de groupe tout en gardant le sien. Des concerts, des soirées hip hop…, ils font ensemble. Et mieux encore, Baye Sène l’invite dans son album Khelcom la sorti en 2001, et dans son clip qui permettra en partie au public de l’identifier. En 2005, Fata l’invite dans son émission free concept et remarque le talent du jeune rappeur. Invitation qui donne suite à sa participation au Hip Hop feeling sur la 2STV. Ainsi, Thieuf est choisi parmi 16 rappeurs. Ce qui lui vaudra la production d’un album : WASSILAH. En tout cas a beaucoup de talent et de volonté, que s’en suive un grand succès !
WASSILA le nouveau opus de Thieuf AKA FOURTHIOU est composé de 8 titres dont un intro qui relate la vie de Thieuf sur le plan social,musical et spirituel.
Titre de L’album :Wassila
FACE A.
Intro
Adouna feat SEYDINA SOULEYEMANE SENE
ANA GUEENN feat OMBRE ZION
Thiant NDiambé feat Fall Kass Kanggu Kaggu
FACE B.
FOURTHIOU feat GASTON
Second Round feat FATA & RESKP
Beneen Japp feat Gaston
SA DOME LA feat MAMY
Datre de Sortie Prévue: Déjà Dans Les Bacs !
Contacts :
Thieuf : 533 97 44 – fourtiou@hotmail.com
Layti 631 48 74
Oumar Sow 645 52 82 – seydinaoumarsow@hotmail.com
Dany 681 49 73
SHOUTS
ALHAMDOULILLAH SANT YALLA DIOULI THIYONNENTAM ak kepp kou Jaap ci realisation album bi, di sant Cheikh Moussa TOURE ( yalla naïf yagg té werr ) Sant soumay niari wadiour (mère Nianga père Daouda) et toutes ma famille. Grand Moussa (Kallamoula) Feuz, wa keur goumak, mes frère, sœurs, nièces, tantes, oncles et badiènns, Mamadi SAGNA, wa Grand Médine, Keur Massar, Pikine, Parcelles Assainies, wa Dior², Bathie, Rama, Ibra Thiam, Cheikh BADAR, Issa, Ndiaga, Jean, Ndiassé Sylla, Bada, fatté wou ma kènn …
Remerciements :
FATA MC (El Présidenté) bonne réussite et merci ak sa équipe Oumar SOW,
X-side-X, King-Allan, Mbeur’s Bigué, Dj Saf Niang, Dj Djibess, Dj Ko, Pape GUEYE, Sista Kalista sans oublier personnes.
Dillène Ndioukel :
wa 2STV et toute l’équipe qui nous ont soutenu, Tons El Hadj NDIAYE, Grand Tapha DIOP, Mr SOW, Mass(rappeur), Lamine Bâ, Mr Baal, Laye, El Hadj etc…Kou lime dioum, thia kaw thia kanam Aziz MBAYE
BIG UP :
Wa KANGUKAGGOU : Lune a.k.a. Albi, Dame et tout le staff : Dany Bleck, Adja Ndiaye, Mamadou Ndiaye, Latyr, Dj Proline (Issa) Wa G-unite HLM Grand Medine et mon frère Gaston (Boy Merci !) K.B.K, Ama Diop, Wa Deeg Mëti, Khostyl, Dakar All Star, Wa BMG 44, Wa Geublë, Bagne 4 yii, Fall-Kass, Simon (Bisbi Clan), Sen Koumpeu, IllégalSen (Noname, BF, Cannabas), Seydimendoza, Wa Keurgui (Kaolack), Jman, Deep Poete, Maze, Omzo, A.T.M., PBS Radikal, Doug E Tee, Supréme Kaddu Makk, RESKP, 6Talib Mc, Mirador, Truewayz, Sista Fa, Black Diamonds, Biba, Bidew Bou Bess, Daara J, Pee Froiss, Batt’Blindé, XPO. B.R.F., G-Ykonec, Sikk Sakka, Faffadi, Big D, Rapadio, Bill Diakhou, La Mifa Daddy Bibson, Maxy Crezy,Dioly Bou Alto… Ah !
One Love à tout le mouvement Hip-Hop Galsène Japp Teuweu Bayi Jemm ça kanam
One Love à tous les participants de Hip-Hop Feeling faté wou niou kenn : orateurs, mc, Dj, Danseurs, Graffeur, le public ak nieup niouma done supporté de prés et de loin One Love
Commentaire de gnougnou (27/08/2007 16:02) :
tu sais koi moi jaimes bien thieuf il ma pris dans son clip wasssila 1 gars
tres bien gentil